Le jeudi (Il giovedi) de Dino Risi

Avec Walter Chiari, Michèle Mercier, Roberto Ciccolini

Italie – 1h45 – VOSTF – Comédie dramatique Une relation tendre entre père et fils

« Un film superbe sur un raté qui a su devenir un vrai père. » Edouard Waintrop, Libération 

Dino, la quarantaine, retrouve son fils, Robertino, 8 ans, qu’il n’a pas vu depuis 5 ans. Dino, grand enfant immature, vivant de petites combines, menteur, dragueur, exubérant, est un maladroit au grand cœur. Roberto, enfant gâté, cultivé, curieux et intelligent, formaté par l’éducation bourgeoise et rigide qu’il a reçue de sa mère et de sa nourrice allemande est aussi mélancolique et solitaire…

Né à Milan et disparu à Rome à l’âge de 91 ans, Dino Risi fut l’une des grandes figures du cinéma italien. Réalisateur et scénariste, il compte parmi les maîtres de la comédie à l’italienne aux côtés de Monicelli et Comencini. Il explore très tôt la satire sociale qui marquera profondément le genre. D’abord formé à la psychiatrie, il se tourne vers le cinéma dans les années 1940, travaillant comme assistant puis auteur de scénarios avant de signer son premier long métrage en 1952.

À partir des années 1950, il s’impose comme l’un des grands artisans de la comédie italienne, notamment grâce à Pauvres mais beaux (1957). Des collaborations marquantes avec Vittorio Gassmann, mais aussi Alberto Sordi, UgoTognazzi, Nanni Manfredi ou Marcello Mastroianni. Son talent s’exprime aussi bien dans les films à sketches que dans des œuvres plus dramatiques comme Le Fanfaron (Jean Louis Trintignant) ou Fantôme d’amour (Romy Schneider). Parfum de femme (Agostina Belli) a été primé au César 1976 comme meilleur meilleur film étranger

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il giovedi

Avec Walter Chiari, Michèle Mercier, Roberto Ciccolini

Italie – 1h45 – VOSTF – Comédie dramatique Une relation tendre entre père et fils

« Un film superbe sur un raté qui a su devenir un vrai père. » Edouard Waintrop, Libération 

Dino, la quarantaine, retrouve son fils, Robertino, 8 ans, qu’il n’a pas vu depuis 5 ans. Dino, grand enfant immature, vivant de petites combines, menteur, dragueur, exubérant, est un maladroit au grand cœur. Roberto, enfant gâté, cultivé, curieux et intelligent, formaté par l’éducation bourgeoise et rigide qu’il a reçue de sa mère et de sa nourrice allemande est aussi mélancolique et solitaire…

Né à Milan et disparu à Rome à l’âge de 91 ans, Dino Risi fut l’une des grandes figures du cinéma italien. Réalisateur et scénariste, il compte parmi les maîtres de la comédie à l’italienne aux côtés de Monicelli et Comencini. Il explore très tôt la satire sociale qui marquera profondément le genre. D’abord formé à la psychiatrie, il se tourne vers le cinéma dans les années 1940, travaillant comme assistant puis auteur de scénarios avant de signer son premier long métrage en 1952.

À partir des années 1950, il s’impose comme l’un des grands artisans de la comédie italienne, notamment grâce à Pauvres mais beaux (1957). Des collaborations marquantes avec Vittorio Gassmann, mais aussi Alberto Sordi, UgoTognazzi, Nanni Manfredi ou Marcello Mastroianni. Son talent s’exprime aussi bien dans les films à sketches que dans des œuvres plus dramatiques comme Le Fanfaron (Jean Louis Trintignant) ou Fantôme d’amour (Romy Schneider). Parfum de femme (Agostina Belli) a été primé au César 1976 comme meilleur meilleur film étranger

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